Navré, je suis. Profondément. Le débat en cours sur la réforme du collège me navre, m’attriste, me donne le bourdon. Ce matin encore, un tweet me fait passer par hasard sur deux billets navrants. Le premier, signé d’un pleutre anonyme, semble vouloir pourfendre ce qu’on sait de la réforme mais il le fait avec tant d’aigreur et de mauvaise bile, à défaut d’arguments, qu’il en devient risible. Si on a le goût pour rire à ça.
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