Qui censurera les censeurs, demandais-je en mai 2014, en conclusion d’un billet où je faisais un état des lieux pitoyable de la censure en milieu éducatif ? D’autres mots plus forts que « pitoyable » seraient plus adéquats en l’affaire mais pourraient émouvoir les plus sensibles de mes lectrices et lecteurs.
Ainsi va la vie. Celle ou celui à qui on donne du pouvoir, oh !
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