Les raisons qui empêchent l’école et le numérique de se rencontrer et de convoler sont pléthore. Il en est de peu légitimes ou qu’il convient de pondérer des circonstances locales, comme l’étroitesse de la connectivité, la faiblesse de l’équipement ou encore la formation des professeurs — je m’expliquerai plus longuement sur ce dernier point un de ces prochains jours —, il est en est de plus légitimes parce qu’objectivement observables comme l’inadéquation des contenus,
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