Le bon Célestin Freinet doit se retourner dans sa tombe. Dans son travail sur « Le journal scolaire », il pronait pour l’élève une parole libre : « L’enfant raconte et, plus tard, écrit librement ce qu’il éprouve : le besoin d’exprimer, d’extérioriser, de communiquer à son entourage ou à ses correspondants. Il n’écrit pas n’importe quoi. […] Désormais, l’enfant n’écrit plus seulement ce qui l’intéresse lui ;
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