Les années précédentes, j’avais tendance à m’échauffer à la lecture des premiers articles des médias qui, sans jamais poser de questions, comme d’habitude, relaient la communication officielle du ministère de l’Éducation quant à la manière dont il prend en charge la fraude aux examens et s’affiche résolu à la réprimer sévèrement. En 2012, je déplorais ce que j’avais alors appelé faute morale de l’institution (1), en 2013, je dénonçais la politique de l’autruche (2),
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