Agir comme un lobby, avoir une attitude de lobby, n’est pas mauvais ni détestable a priori. Ce n’est pas honteux non plus. Je mets, pour ma part, deux conditions pourtant pour accorder à leur égard un peu de bienveillance à ces entreprises idéologiques, politiques ou économiques, c’est selon : ne pas sacrifier le bien ou l’intérêt général — d’aucuns parleraient de bien commun — au profit de son intérêt particulier [Note tardive : les quelques lignes précédentes témoignent d’une très grande naïveté de ma part],
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