Tout cela a commencé, paraît-il, avec Nicolas Sarkozy, que plus personne n’écoutait guère, le mercredi matin, au Conseil des ministres. Oh ! il y a déjà plusieurs années, vers la fin de son dernier quinquennat. D’abord, c’était les journaux du jour, négligemment posés sur la table, auxquels on jetait un œil quand on n’était pas concerné, quand le projet de loi présenté n’avait strictement aucun rapport avec ses propres dossiers.
Ils furent nombreux à se faire vertement réprimander à ce sujet.
…
Un commentaire de plus ?