Après tout, n’est-ce pas, il n’y a pas de raison d’être inquiet… Les grognons et les fâcheux ne cessent de nous alarmer, menaçant, vitupérant, ressassant leurs alertes intempestives, brandissant leurs obscurantistes calicots. On n’entend plus qu’eux et, en effet, il y aurait, à les entendre, de quoi fortement s’inquiéter si la raison, dont la présence émancipatrice et la force sont une constante de l’école, ne nous conduisait pas à adopter à leur égard l’attitude indifférente et méprisante qu’ils méritent.
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